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30 juillet 2012

Roumanie : le président Basescu affirme avoir échappé à la destitution


Le gand Taulier roumain, Traian Basescu, a bonni dimanche 29 juillet qu'il allait pouvoir prendre racine à son poste. Tout en assurant entraver que des millions d'Roumains puissent être en renaud contre sa pomme, c'est grâce à une abstention maousse au référendum visant à le rayer des cadres qu'il va pouvoir garder son turbin.

"Les Roumains ont envoyé bouler l'coup d'Etat" des socialos du mitan drivés par le premier minisse Victor Ponta. C'est ce dernier qui a envoyé les fafiots pour son déboulonnage y'a un marqué, a déclaré M. Basescu depuis son clapier, quelques broquilles après le bridage des bureaux d'vote. "J'veux tirer mon bada à tous les zigues qui voulaient faire mon affaire mais qui ont rengrâcié quant ils ont entravé qu'le référendum ne portait pas sur ma poire mais sur l'Europe", a-t-il ajouté, alors que ses aminches avaient appelé à un boycottage des urnes.

Selon une estimuche officielle, le taux de participation était de 45,92% vers 22h30, pas assez pour valider la consulte. Selon un sondage effectué à la décarrade des burlins d'vote, 86,90% des mectons avaient votarès en faveur du débarquement du grand Taulier.

Les socialos du mitan sont montés au créneau, bonissant que le taux d'particip'était de 52%, validant le boulingage du grand mec !

Le premier minisse Victor Ponta a estimé que quel que soit l'arrivée du tiercé, aucun politicard ne pouvait ignorer que la populasse ne voulait plus de tocard dans les box. "Et si t'entraves pas la coupure, va donc te trimballer au fourmillon, t'entendras parler du pays", a déclaré M. Ponta, mettant en doute la "virilité" de son adversaire.

"RÉCONCILIATION"

Après trois marqués de colloc' plus ou moins amiteuse avec le gouvernail de centre gauche, M. Basescu a assuré que, dès qu'il aurait renquillé au palazzo, il s'attacherait à "s'rabibocher avec l'ennemi". "Sur qu'y a une tapée de Roumains qui m'ont pas à la caille après tout c'que j'ai maquillé ces dernières piges. Mais, comme bonnirait Chirac, faut combler la fracture au sein d'la société parce que c'est pas avec des faiblards et des traines-la-patte qu'on décrochera not'ticket pour le bal des faiseurs du grand monde".

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