Depuis déjà deux berges qu'elle existe, la prime à la déglingue qu'est censé passer au bleu au 31 décembre, a largement contribué à épauler les ventes de charrettes neuves en 2010, avec environ 600 000 limeprèmes raquées sur l'annoche, pour un montant total de plus de 510 batons, selon les chiffres du ministère des hauts fournaillons.
Cette prime, destinée aux mirontons qui conduisent un tacot de plus de dix piges et qui veulent s'offrir une tire rutilante avec accoudoirs, volant en jonc et qui fasse rire les narines des trottards devrait représenter un peu moins d'un méchillon des ventes en France cette année.
La combine avait déjà dopé le solissage de bagnoles neuves pendant la période de vaches maigres qu'on a connu en 2009 avec 514 017 primes carmées représentant un magot de 514 batons rappelle le ministère.
Ce coup d'pogne gouvernemental à été goupillé en décembre 2008 pour empêcher que le secteur automobile ne boive le bouillon à cause de c'te maudite crise économiquemuche.
L'avis de Jean Daron : Après avoir filer de l'osier aux banquezingues carambouilleurs, subventionner l'attriquage de charrettes flambantes, espérons que nos grosses légumes n'oublierons pas les lichetronneurs de picton qui eux aussi en voient de cruelles en ces temps durailles.
Brèves de burlingue, café du commerce, philosophie de zinc dans un français moyen et argotique où les fautes de grammaire et d'orthographe seront traitées avec bienveillance.
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