adsense1

27 décembre 2010

Les chefs japonais lancent des certificats de qualité des sushis

Pour que la bectance de pescale cru ne se transforme pas en une énormousse foire au refile, les cuistanciers japonais, cador en matière de sushimons, ont décidé de goupiller une combine permettant de garantir que le casse-graine à base d'huile de foie d'morue et de planctons servi par les cuistots étrangers est de première bourre.

Ce lavabel qui certifie qu'les mirlitions s'lavent bien les pognes chaque fois qu'ils vont aux goguenots et qu'ils se gratouillent les breloques est surtout destiné à démontrer que les cas d'intoxication sont dus à des manières salingues.
CUISTANCES SEPAREES POUR LA POUASCAILLE ET LA BIDOCHE
 
"La plupart des crémeries étrangères balottent des sushimons dans les mêmes cuistances que celle  où on tâte de la bidoche", a relevé Masayoyo Kazatochème, cador en maniement du chourin et gratte-papier durant ces heures lerdupèms !
"C'est complètement dégeu d'tripoter le pescale qui provient d'la grande-tasse dans une cuistance où y'a pas l'eau courante pour le sabouler", a-t-il souligné.

Les chefs japonais ont la pétoche que si  trop d'trêpes finissent avec le citron dans les goguenots bicause ils z'auraient jaffer d'la pouascaille souilloté d'lisspèm ou avec le cresson du cuistot en guise d'herbe de provence, cette spécialité n'acquière la réputation d'un casse-croûte salingue et dangereux.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire