Faut-il couper dans la pommade ? Après trois piges tartignolles sur les marchés d'actions, faites de merdouille, d'espoirs et de pieds de nez, l'annoche 2011 sera-t-elle enfin celle du Saint Fric ?
L'économie mondiale a envoyé l'serbillon : à tous les vents, les affures se confirment et le spectre d'une fricasée s'fait la malle. Pas de quoi se polir le chinois, mais assez pour faire renaître la godaille sur des marchés boursiers restés en plan, jusqu'ici, au profit de combines plus pépères, comme le jonc ou le tapage obligataire.
"A partir de tout-de-suite, les caves qui s'détranchent des actions se fourrent l'index dans la lucarne", a bonni Abby Joseph Goldman Sachs, à propos de Wall Street, dans USA Today, le 17 décembre. La plupart des orfèvres en carambouilles partagent cet avisoire, et prédisent du saute-mouton sur les marchés occidentaux de l'ordre de 10 % à 15 %, parfois même 20 % pour ceux qui croient encore au père Noël.
LA CRISE DE L'ENCROUMAGE PUBLIC N'EST PAS BOUCLEE
La remontée des cours a d'ailleurs déjà attaqué l'rôti. La fin de l'année se solde ainsi par des perfs plutôt pallas. Chez les amerlo en particulier, l'indice Dow Jones a presque passé au bleu la culotte ramassée depuis la crise, et termine 2010 sur un plus haut depuis mi-2008, avec une progression de l'ordre de 11 % .
L'Europe, en revanche, est toujours dans un sacré pastis depuis la crise de l'euro et de ses dettes souveraines craignos.
Pour les cadors prévisioniste à la boule de cristal malgré que les gros bonnets se soient cassé la nénette, la crise de l'encroumage public n'est pas torchée. Après la Grèce et l'Irlande, ce sont l'Espagne, l'Italie, et même la Belgique qui les font s'biloter.
c'est le serpent qui se mord la queue!! Ces Picsou se plaignent des conséquences de leurs propres actions!
RépondreSupprimerTu l'as dit bouffi !
RépondreSupprimer