L'Elysée a été victime d'une tentative de repassage y a quelques semaines : des bricoleurs ont tenté de baluchonner la Grande Taule, après avoir dégauchi son numéro de compte en banque et s'être fait passer pour des grattes-papiers de son service Jonc et Osier.
Selon Cricri Frémont, bouffe-galette en chef du burlingue du Grand Taulier, "une clique de cavillons a réussi à se dégoter le numéro de compte bancaire de l'Elysée ainsi que le trombinoscope de son service financier". "Y'a un d'mi marqué, l'un des cambuteurs a alors filé un coup d'grelot à la banque de l'Elysée, et, se faisant passer pour l'aboyeur du service financier, lui a demandé d'gribouller un chèquemuche de deux barres d'euros sur son compte", qui s'est finalement révélé être "en Chine", a précisé M. Frémont. Pas sinoqué, le saute-rondelles a bigofoné pour vérification à l'Elysée, faisant ainsi bigorner la tentative d'entubage.
La maison poulaga a ouvert une enquête. Selon M. Frémont, il s'agit d'banquistes français créchant à l'étranger. "Y sont pas à leur coup d'essai les grinches, et pt'être même qu'ils ont réussi à barboter un peu d'osier à des caves", a-t-il ajouté.
Selon L'Canard enchaîné, l'Agence nationale pour les chèques-vacances (ANCV), s'est notamment fait entuber de 998 000 euros, à la suite d'un ordre de virement à la graisse d'oie sur un compte en Chine.
Brèves de burlingue, café du commerce, philosophie de zinc dans un français moyen et argotique où les fautes de grammaire et d'orthographe seront traitées avec bienveillance.
Jean est de retour et il bonni toujours aussi bien!
RépondreSupprimerle saute-rondelle est une belle enflure qui sacage le boulot d'honnêtes artisans de la finance internationale. Encore un qui finira au croc d'un boucher!
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