27 septembre 2011
Le Cavaliere aurait incité son fournisseur de starlettes à mentir à la justice
Berlu, déjà dans l’bain pour plusieurs affures pourrait s’faire aligner par les perdreaux pour avoir incité le chevalier d’industrie Polo Tarantini à bourrer la caisse aux mirontons d’la poivrière dans l’cadre de l’enquête sur les briquettes recrutées pour bahuter ses soirantes.
QUATRE OU CINQ PAR SOIRANTE !
Selon les journaleux, l’enquête de Bari montre que Tarantini a carmé dans les 29 000 € pour qu’une trentaine de poules viennent chatouiller l’arrosoir de Berlu.
Si les gigolettes passaient la noïe dans l’fourrachon du Cavaliere, Tarantini leur filait un pourliche de 1 000 euros mais Berlu, bon prince, leur glissait toujours des biffetons de 100 euros dans l’cache frifri pour le dérangement.
Selon les ésgourdailles, les souris étaient au moins quatre ou cinq par session de zizi-panpan et Tarantini devait toujours en avoir de pas trop déjetées sous la pogne. Dévoué, il leur billait toujours le tour de gondole et leur bourrer l’mou en leur faisant miroiter des carrières de reine de la rampe.
Des mauvaises langues bonnissent que le gusse cherchait avant tout à s’dégotter des contacts chez les grosses pontes pour dégauchir des contrats avec des entreprises de la grande Taule !
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