Les gardes-chiourmes de la maison spéculos ont annoncé jeudi 10 novemb'qu'ils creuseraient pour savoir comment l'agence Standard and Poor's avait pu faire des potins au sujet d'une prétendue dégradation de la sainte triplette de la Francecaille.
L'agence S&P a en effet reconnu avoir balancé à certains d'ses abonnés une salade annonçant que la Francecaille avait perdu sa sainte triplette, au risque de jeter un peu plus d'huile sur le feu d'la débandade économuche. "On a fait une boulette, désolé. Le coupable carmera une tournée d'rouquin à ses camerluches."
Cette gourance, sur laquelle l'agence de notation a promis d'faire du rife, intervient alors que ça a jamais coûté autant bonbon à la Francecaille de bottiner d'la maille auprès des banquouses alors que les Allemands se fendent le bol rien que d'y penser.
Mi-octob', l'agence Moody's avait flanqué un premier abattage à la Francecaille, en bonnissant qu'elle se donnait trois marqués pour faire un sort à sa sainte Triplette. Cette annonce, qui a eu l'don d'ébouriffer l'gourvernail français, a joué un rôle dans le serrage de ceinturon, qui prévoit 7 milliards d'économuches en 2012.
La Francecaille est toujours dans les p'tits papiers des trois agences de notation. Ca lui permet d'gratter les banquouses sans se faire trop faisander. L'avaro avec ces agences, c'est qu'elles emmouscaillent les gouvernails de la zone euro en les poussant à faire éclairer leurs ardoises par les mirontons qui y turbinent.
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