L'une des deux Chinoises disqualifiées plaque le badminton

La joueuse chinoise de badminton Yu Yang, recalée mercredi 2 août du tournoi olympique de badminton à Londres après avoir mis les pieds dans l'plat en paumant une rencontre en doublette, a annoncé dans la foulée qu'elle plaquait sa carrière. "C'est mon dernier tour de piste. Adieu veaux, vaches, cochons, adieu au badminton que je godais tant", a griffonné la Chinoise sur son compte de microblog. Yu Yang et sa compère de gaye Wang Xiaoli, également débarquée, sont des cracks du volant. Yu Yang, 26 piges, a également bonni dans sa bafouille voir son "rêve en miette" après sa disqualification, et quatre piges à se briser les précieuses à envoyer valdinguer ce foutu volant.

Elle fait partie des huit poulettes (4 paires du double dames) accusées "d'avoir monté une gaye pour se faire rincer lors des matches de poule, mardi soir à Londres. Le passage de savon concerne quatre paires, une représentant la Chine, une l'Indonésie et deux la Corée du Sud.

L'entraîneur de la paire de double, Li Yongbo, s'est mis sur le rable tout le bousin. "Je dois aux fans du badminton chinois et à l'honorable public qui mate la téloche chinoise des excuses", a-t-il bonni.

FAIR PLAY

Toute la clique olympique chinoise a indiqué mercredi qu'elle "s'inclinait respectueusement" face à la va-te-laver infligée par la Fédé internationale de badminton (BWF). Les gamineries des deux poupées "a glaviolé les principes du mouvement olympique et est contraire à l'esprit du fair play. Ca m'fout le battant en miettes", a-t-elle souligné.
Le taulier d'la Fédé, Thomas Lund s'est de son côté dit "vraiment chamboulé par ce qui s'est maquillé". "C'qui compte, c'est qu'on se soit dépatouillé d'cet avaro et qu'on arrête de nous bourrer l'mou avec cette affure".

Les joueuses concernées couraient deux lapins à la fois. En s'déballonant un loipé pendant les qualifs elles avaient gaffé qu'elles pourraient ensuite se r'trouver face à des caves en quarts de finale. Mais les grandes stratéges se sont retrouvées avec le bec dans la flotte. Des internautes chinois ont d'ailleurs jarvillé leur sentiment d'en être pour leur courte honte. "Le médaillon, qu'il soit en jonc ou en plâtre, nous on veut l'affurer à la régulière, sans chinoiserie quoi ! L'équipe chinoise de badminton s'est vraiment laissée démonter", a gribouillé l'un d'entre eux dans une microsalade.