Le singe de l'opposition australienne a dû s'excuser mardi 23 octobre, pour des remarques laissant entendre que la première minisse, Julia Gillard, célibataire et sans lardons, était une vraie branquignolle rapport à la bordelaise en 130 et par extension à sa politique familiale. Le ferlampier s'était fait vertement enguirlander par la dabesse du Gouvernail en personne, dans une parlote très épastrouillante.
Tony Abbot a fargué le gouvernail de prendre la mouche pour que t'chi, mais a toutefois fait des courbettes pour qu'on passe l'éponge. "Si Julia Gillard démarre au quart de tour quand on lui chatouille les arpions, c'est p'têtre qu'elle a besoin d'se faire caramboler. Enfin, si elle veut que j'rengracie bah j'rengracie", a bonni M. Abbott, lui-mère père de trois mignardes. "C'était pas vachard d'ma part. Quand on m'conobre un peu on sait que j'en tiens une sacrée couche".
"MANQUE DE BOUTEILLE"
Rouspétant contre les propals budgétaires du gouvernail turbiniste, notamment la réduc d'une prime raquée à la naissance, le caïd de l'opposition conservatrice,Tony Abbot, avait en effet estimé que cette mesure attestait du "manque de bouteille" du gouvernail quant aux questions liées à la marmaille. "Je pense que M. Abbott va nous éclairer la couleur sur ce qu'il entend par cette vanne", a immédiatement remouché Julia Gillard, qui avait été qualifiée d'"abricot sec" par un membre de l'opposition il y a quelques années.
Le meg de l'opposition s'était ensuite fait lessiver par la mère Gillard devant tous les mectons de l'aquarium, à la mi-octobre. Cette dernière l'avait alors bêché d'être un gros beauf sexiste et jobard dans une tartine de prose de 15 broquilles mêlant ironie et furibardise froide, un dévidage qui avait emporter l'morceau sur internet. Première menesse bossess du gouvernail en Australie, Julia Gillard s'est faite moucher à plusieurs reprises par des gonzes pas très finots et un peu baluchards aux entournures.
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