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04 mars 2013

De la carne de girafe dans des bâtonnets à la bidoche en Afrique du sud

Le foin causé par la fraude à la carne de gaye, qui remue l'Europe, s'est chanstiquée en crise de la girafe en Afrique du Sud.

90% des bâtonnets de bidoche séchée, censée être de l'antilope étaient en réalité machinée avec du gaye, de la cochonaille, d'la girafe ou du kangourou. "L'un des bouts de barbaque était pas trop recta, ça nous a pris aux tripes et foutu en pétard, a bonni Maria Eugenia D'Amato, remue éprouvette au labo de l'univesisté du Cap. On a commencé par s'faire un barbec' puis on s'est ouvert quelques bonnes rouillardes, fallait bien ça. Résultat des courses, la girafe et le Shiraz ça fait pas bon ménage. Nous avons décidé de poursuivre nos investigations et remettrons ça dans la s'maine avec du cabernet-sauvignon".

Ces bâtonnets de bidoche, faits à partir de bestioles qu'on peut dégauchir dans les fourrées du coin ou élevés dans des fermes, sont la bectance de base en Afrique du Sud et appréciés pour leur forme allongée, qu'on peut facilement fourrer dans un baise-en-ville ou même dans les fouillouses de l'homme pressé. Cette semaine, de la barbaque de bourrique, d'hippopotame et d'autres bestioles inattendus a été dégauchie dans près des deux tiers des casses-croûtes et sauciflards testés dans le pays.


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