Air France mise sur la sellette pour s'être débrouillé comme un manche
lors du vol Paris-Beyrouth dérouté vers Damas puis Chypre en raison de
rififi au Liban, a bonni qu'elle avait tous les droits de taper dans
l'morlingue des passagers en cas "d'avaros", comme elle l'a fait pour ce
vol ou tout le trêpe a fini à Larnaca.
LE CODE DE TRANSPORTS DONNE CARTE BLANCHE
Pendant qu'ils s'en grillaient une sur le tarmac de l'aéroport de Damas, plusieurs trimardeurs ont bonni que l'équipage d'Air France avait commencé à faire la manche pour carmer le coco avant de dégauchir une autre solusse. Air France a fait valoir qu'elle avait carte blanche pour taxer les pacquelineurs, conformément à une disposition prévue à l'article L6522-4 du code des transports.
La bafouille autorise en effet le capitaine, "en cas de pastis sévère l'empêchant de s'envoyer en l'air", à faire cracher au bassinet les gusses qui trimardent avec sa pomme.
LE CODE DE TRANSPORTS DONNE CARTE BLANCHE
Pendant qu'ils s'en grillaient une sur le tarmac de l'aéroport de Damas, plusieurs trimardeurs ont bonni que l'équipage d'Air France avait commencé à faire la manche pour carmer le coco avant de dégauchir une autre solusse. Air France a fait valoir qu'elle avait carte blanche pour taxer les pacquelineurs, conformément à une disposition prévue à l'article L6522-4 du code des transports.
La bafouille autorise en effet le capitaine, "en cas de pastis sévère l'empêchant de s'envoyer en l'air", à faire cracher au bassinet les gusses qui trimardent avec sa pomme.
Air France ajoute finalement qu'elle a elle-même éclairé le coco pour le vol Paname-Beyrouth, "mais la compagnie ne souhaite pas couper les ch'veux en quatre au sujet d'ce réglement". Selon une trimardeuse passée à la moulinette de France Info, l'équipage avait "tapé" 17 000 dollars, une somme que la compagnie n'a pas souhaité commenter.
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