Le rouspétant russe et ancien cador des échecs Garry Kasparov a bonni être convoqué, lundi 20 août, par la rousse, qui lui fout sur le dos d'avoir morgané un perdreau vendredi dernier à Moscou. En Russie, sabouler un poulet est passible d'une rouste sévère allant de 200 000 roubles à cinq ans de garuche en camp d'vacances.
"On doit m'tirer les vers du nez sur le cravatage présumé d'un poulardin. Après, le soviet suprême décidera s'il veux m'chercher des poux ou pas", a bonni M. Kasparov sur son litsème Kasparov.ru.
M. Kasparov a été serré vendredi à Moscou au cours d'une manif de soutien aux Pussy Riot, près d'la gerberie, qui a enflaqué ce jour-là trois menesses membres de ce groupe à deux piges de bachasse pour avoir goualé une "suppliante kepon" contre Vlad Poutine dans une grande priante.
UN DEVIDAGE A L'ESTORGUE HONTEUX
"On peut bigler dans d'nombreuses vidéos que les poulardins m'ont agrafé au moment où je jactais à des journaleux et qu'ils m'ont ensuite donné de l'avoine", indique M. Kasparov, qui précise qu'il va porter le pet pour agrafage illégal et abus de pouvoir par la maison poulagavitch.
"Y'a un paquet d'vidéos et d'lotophèmes qui prouvent que j'ai pas morfié la pogne d'la vache", gribouille-t-il encore. Dans ces vidéos, "j'vous fouts mon billet d'me remoucher avec un bout d'bidoche entre les dominos", ajoute-t-il. "C'est un déviadage à l'estorgue honteux, et dans n'importe quel autre patelin avec une juste moins à la botte des grossiums, on m'aurait foutu la paix", poursuit M. Kasparov.
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