Le deputé-condé de Villeneuve-sur-Lot, le socialo Gégé Cahuzac estime que la paire de taloches qu'il a balancé à un morveu qui l'avait gratifié de noms d'oiseaux et un peu chahuté vendredi 22 avril dernier, était pas volée !
Gégé explique avoir été alerté par le barouffe causé par une ganée d'branleurs qui faisait du chambard sur la voie publique. Sans gamberger d'avantage, Gégé s'est déhoté d'son burlingue pour remettre les choses à leur place, nous explique-t-il.
Un des mectons qu'en avait un peu dans l'buffet a commencé a assaisonner Gégé de tous les blazes de zozios qu'il avait lu dans son babilleux de sciences nat' et l'a ensuite chahuté un brin histoire de faire marrer ses aminches. Gégé, qu'est pas du genre a blanchir du foie quand un merdeux lui marche sur les ribouis l'a tout d'abord envoyer valdinguer pour enfin lui coller une mornifle bien méritarès !
"Le cavillon voulait remuer la moutarde, il est tombé sur un os" nous raconte-t-il chenuement.
"GESTE VIOLENT"
Gégé reconnaît une bègne comme étant un "geste manquant d'affection" mais a estimé que, son battant n'ayant fait qu'un tour en entendant tous ces propos salingues, il pouvait "pas faire autrement" que d'lui en coller une à c'merdaillon. "J'conteste pas que j'ai eu l'coup d'battoire un peu leste, mais j'ai beau être le condé de c'te patelin, j'en suis pas moins un bonhomme. Et pis j'pouvait quand même pas m'laisser invectiver par un lavedu du genre devant tous les mectons du quartier".
Il a estimé que "ces incivilités sont révélatrices d'une situation qu'existe aussi dans d'autres patelins" et que pour lutter contre elles "il faut plus de perdreaux". Gégé a indiqué ne pas désirer donner de suites judiciaires aux insultes dont il a été victime.
faut pas l'chercher le GG: c'est pas un demi-sel!!
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