Un grossium chinois, faisant ses emplettes dans l'Bordelais, a mis la main au crapautard et s'est carmé, fin novembre, le château de Bellefont-Belcier, premier grand-cru classé de Saint-Emilion.
Le deal, goupillé par un cabinet d'avocaillons, a été topé la semaine dernière pour un montant non divulgué. L'acheteur, qui répond au doux blaze de "Monsieur Wang" est un margoulin chinois de 45 balais fricotant avec les ferrailleux.
L'affure, serinée par le site de magazine Terre de Pinard, porte sur un domaine d'une vingtaine d'hectares. Les "caroubles symboliques" ont été remises à l'honorable taulier.
L'acquisition, l'ennième sur une liste longue comme un bras, figure parmi les plus tape à l'oeil maquillée ces dernières piges par un chinois. Les cadors du secteur pinardier bonnissent que la "ruée" vers le pivois de rougement n'en est qu'à ses balbutiements.
La Chine est devenue depuis l'an dernier l'un des plus grand licheur de rouquin Bordelais.
Le deal, goupillé par un cabinet d'avocaillons, a été topé la semaine dernière pour un montant non divulgué. L'acheteur, qui répond au doux blaze de "Monsieur Wang" est un margoulin chinois de 45 balais fricotant avec les ferrailleux.
L'affure, serinée par le site de magazine Terre de Pinard, porte sur un domaine d'une vingtaine d'hectares. Les "caroubles symboliques" ont été remises à l'honorable taulier.
L'acquisition, l'ennième sur une liste longue comme un bras, figure parmi les plus tape à l'oeil maquillée ces dernières piges par un chinois. Les cadors du secteur pinardier bonnissent que la "ruée" vers le pivois de rougement n'en est qu'à ses balbutiements.
La Chine est devenue depuis l'an dernier l'un des plus grand licheur de rouquin Bordelais.
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