adsense1

03 décembre 2012

Le Gouvernail colombien renoue le dialogue avec les Farc par un marmitage en bonne et due forme

Au moins vingt soudards des FARC se sont fait flinguer samedi 1er décembre lors du marmitage d'un camp situé à Los Arrayaes, une bourgade rurale de la province de Narino, à la frontière de l'Equateur, a bonni le très galloné Leonardo Barrero, un des caïds de la grive du coinsto. L'esquade de trouffions leur est tombée sur le paletot alors que le Gouvernail colombien et les FARC ont prévu de boire le thé mercredi à Cuba pour essayer de dégauchir une soluce qui les conduirait à ne plus se foutre sur la tronche.

Le grand mec colombien, Juan Manuel Santos, voudrait qu'on mette la gomme dans la conduite du dialogue de sourdingues entre son Gouvernail et les FARC. "On a décidé qu'on en découdrait encore un poil, on peut pas décemment tout boucler du jour au lendemain. Les mectons ont besoin d'se dégourdir les pinceaux et ils aiment tellement faire mumuse avec leurs riboustins ! C'est presque Noël, on va quand même pas brider leur godaillerie. Faut dire qu'en face on a pas non plus des enfants de choeur. Qu'ils rengrâcient et j'vous fiche ma parole d'honneur qu'on arrête le marmitage. On flinguera à la régulière".

Lancés en octobre en Norvège, la discutaille entre les grossiums du Gouverail et les rebelles marxistes s'est poursuivies le 19 novembre à Cuba, dans l'espoir de faire taire les juges de paix qui résonnent dans la campagne colombienne depuis près de 50 piges et qui ont plombé plusieurs centaines de milliers de mirontons.

Le dialogue entre guérilla et gouvernail comprend cinq volets : le développement duraille de la cambrouse ; la participation des FARC à l'animation des conseils municipaux locaux ; la fin du grabuge ; la lutte contre le trafic de coco et les droits des escofiés.

Fondées en 1964, à l'issue d'un chambardement de bourbeux, les FARC, la plus ancienne guérilla d'Amérique latine, comptent encore, selon les autorités, quelque 9 200 troufions, essentiellement repliés dans les zones cambrousardes du pays.

L'avisoire de Jean Daron : le dialogue social en Colombie c'est fastoche, on marave d'abord et on jacte après... s'il reste des survivants




2 commentaires:

  1. c'est pas grave: le taulier dira qu'c'est des mecs pas recta d'sa bande qu'on fait du grabuge et qui leur filera une bonne raclée pour pas qui r'commence. Après les Farcmuch tu leur fourre un p'tit verre de tord-boyaux du cru, et c'est oublié!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tu passes tes vacances avec cézigos pour les conobrer aussi bien ? C'est pas parce que tu carbures au picton qu'il faut généraliser le propos !

      Supprimer