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14 novembre 2012

Twilight chapitre 5 : révélation - La critique d'Emile Strogonoff

Jacter d’un film à la noix n’est pas chose aisée. L’exercice est d’autant plus duraille que je n’ai pas eu le loisirs de bigler le nanar. Mais qu’importe ! N’en déplaise aux débineurs de ce type de cinoche, que d’aucuns qualifieraient de populos, il est admirable de constater l’aplomb avec lequel les promoteurs de cet opus cavillon nous vendent leur eau de vaisselle. Le scénario, dont l’épaisseur filerait des suées au gnière le plus salingue coincé dans des tartisses dont le dernier utilisateur n’aurait pas jugé utile de réapprovisionner le distributeur de pq, se résume en quelques mots : des méchants croques-raisiné cherchent chicane à leur congénères parce que la régulière d’un grossium de l’autre campement vient de pisser sa côtelette… Pas de quoi en faire des salades et pourtant, Bill Condon, lui, en a fait un film ! Même si certains aspics parleraient icigo de maboulisme sévère, voire de cupidité, nous lui reconnaitrons bien volontiers un certain cran. Il n’est pas si facile, en effet, de se carrer son amour-propre dans les tréfonds de son fondement, combien même la carotte ferait reluire le plus abstinent des pantres. Que dire de plus alors, si ce n’est qu’il en faut pour tous les goûts, même les plus tartignols ? Que cet avaro ne vous empêche cependant pas d’accepter le rembroque que vous a filé votre galante pour aller voir ce film. Il n’est pas interdit de croire, qu’avec le sirop qui fait office de bande-originale, vous ne soyez pas en moins de jouge en train de sucer la pomme de votre girofflé.


Les autres nanards à ne pas bigler cette semaine se trouvent laga : allo-cinoche

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