Les Saoudiennes vont pouvoir acheter sans gêne leurs sous-vêtements

Les Saoudiennes vont pouvoir s'carmer des caches-frifri en dentelle sans piquer leur fard devant des solliseurs et leur bâton de pelerin. Une décision royalemuche autorise en effet les mousmés à turbiner dans ces taules, ce qui fout en rogne les barbus de service.

Dans ce royaume, où gonzes et coquines vivent séparément, le monarque a décidé de chanstiquer tous les solliseurs de p'tites culottes pour les remplacer par des gigolettes en bas-nylon saoudiennes.

"QUESTIONS SUR LA TAILLE DE LA LAITERIE"

Cette décision résulte du tapage fait sur la toile par des poupées qu'en avaient marre que des mectons viceloques  leur posent des questions sur la taille de leur laiterie. Les gerces ne pourront toutefois toujours pas essayer les caches-frifri bicause les cabines d'essayage n'ont toujours pas été inventées dans l'royaume.

"Finito, j'me ferai plus reluquer le balconnet par tous ces cochonnets", bonnissait Fatima Qaroub, qui a lancé sur internet une campagne réclamant plus de mousmés dans les boutiques de dentelles. Elle bonnit que "les commerçants ont commencé par rouscailler au début, mais après avoir biglé qu'les saoudiennes avaient pas deux mains gauches, certains en ont même fait buriner dans des boutanches d'alpagas".


"MISE EN FRIME DIRECTE" AVEC LES SINGES

La décision royalemuche, qui s'appliquera dans un deuxième temps aux boutrolles de badigeons, chahute un peu l'mufti d'Arabie saoudite, cheikh Abel Aziz Al-Cheikh, qui a estimé lors de sa parlote de vendredi que cela mettrait directement en frime les vendeuses avec les singes de ces magasins. "Les raclis vont fourguer d'la camelote et compter les biffetons", ce qui est "contraire à la religion", a-t-il bonni.

Une précédente décision permettant aux Saoudiennes de turbiner dans les magasins de dentelle, prise il y a trois piges, avait déjà été bloquarès par les religieux conservateurs, qui s'opposent au turbin des mousmés dans plusieurs secteurs d'activité pour empêcher les tournois de zizi pampan pendant le casse-graine.