Reprise des discussions entre l'AIEA et Téhéran

L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et l'Iran, soupçonné de vouloir se dégotter la grosse pétaradante, ont repris leurs jactance, lundi 14 mai, à Vienne, trois marqués après la veste de deux dernières visites de l'agence visant à mettre les toquantes à l'heure au sujet du programme nucléaire de Téhéran.

"On est icigo pour bagouler dans un esprit positif", a bonni le caïd des perdreaux de l'AIEA, Herman Nackaerts, en aboulant dans la représentation permanente de l'Iran auprès des Nations unies, où on va discuter le bout d'gras jusqu'à mardi. "Faut pas qu'on lâche le cap, faut qu'en deux jourdés on ait dégauchi des soluces pour remettre les compteurs (geiger ?) à zéro", a ajouté le Belge. "Faut qu'on nous laisse foutre le tarbouif dans les papelards "secret-défense", qu'on nous laisse jacter aux grossiums qui turbines dans les cocottes-minutes à atomes et qu'on nous file les caroubles des usines à riboustins", a-t-il ajouté.

Ces avaros ont été rapportés dans une bafouilles très vacharde de l'agence en novembre, où bonnissait que l'Iran avait bricolé à la mise au point d'une grosse pétaradante jusqu'en 2003 et peut-être même après, ce que Téhéran avait chiqué formellement. L'AIEA soupçonne le pays d'avoir fêter l'14 juillet avant l'heure sur le site militaire de Parchin en faisant sauter de gros pétards pouvant être applicables au nucléaire.

Michel Rocard à Téhéran

Les grosses pontes iraniennes foutent leur billet qu'ils sont prêts à "tout oublier et repartir du bon pied" pour parvenir à une soluce qui leur permettrait d'continuer à faire joujou avec leur gros pétards mais en toute amitié, a déclaré l'ancien minisse français Mimi Rocard.