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07 septembre 2012

Les jeunes Francillons seraient plus portés sur le saindoux que les Amérloques



Les Francillons entre 21 et 34 piges boulottent moins équilibré que les Amérloques de la même tranche et les moujingues de 3 à 14 berges jaffent de moins en moins diversifié. Dans une salade publiée mercredi 5 septembre, le Centre de recherche pour l'étude et observation des conditions de vie (Crédoc) passe à la moulinette les comportements des Francillons face à la morphe et les compare à celles des Ricains.
Avec une forte attirance pour les casses-dalles, les 21-34 berges font la fine gueule pour c'qui est d'la verdouze. "Si tout l'monde se mettait à briffer de la sorte ce s'rait la cata", préviennent les gribouilleurs de l'étude.

LA BECTANCE DES MOUTARDS MOINS DIVERSIFIÉE
  
"Globalement, les Ricains s'empiffrent pas plus que les Francillons", notent-ils. Ils s'envoient plus de sucre dans l'gosier, à cause des kils de tisanes qu'ils s'enfilent mais les Francillons ont la main lourde sur la boustifaille chargée au saindoux.
Les Francillons de 15-20 piges et ceux de 45-64 piges ont le boudinage plus sain et les 15-20 berges ont une alimentation "significativement moins blèchardes que les Amérloques du même calibre". Dans l'ensemble, les Français n'aiment pas s'affûter les crochets sur le même fricot mais chez les moutards entre 3 et 14 piges la tendance est moins nette, note l'étude.


2 commentaires:

  1. c'est pourtant pas compliqué de bien becter: un verre de rouquin et un steakmuch, c'est pas compliqué à dégotter

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  2. Ca file le bourdon... Tout s'perd, même en Francecaille ! J'va aller m'en jeter un tiens, pour m'remettre d'aplomb...

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