Les poulardins de Chorley, dans le Lancashire (chez lez british), étaient tout émotionnés vendredi 12 octobre. Un gonzier bagotait en ville, une flamberge de samouraï en pogne, selon plusieurs fargueurs. Un perdreau crut l'avoir biglé sur le ruban ; le gugusse frappavait son sabre sur la dure et ne pipa mot quand le flicot l'apostropha. Défrisé par autant d'impertinence, ce dernier défourailla sa pétouse électrique et déchargea 50 000 volts dans l'pétrus du margoulin. Des cadors en furetage ont dégauchi, après s'être trituré l'citron, que la flamberge était en fait une canne blanche. P'têtre bien que l'grand lumignon avait dardé dans les châsses du poulardin, lui f'sant prendre la bougie du miro pour une flamberge miroitante. Son proprio était Colin Farmer, un vioque de 61 piges. Il se trissait pépère au troquet quand il s'est r'trouvé les quatre fers en l'air, d'la fumée s'échappant d'ses cliquettes.
"J'ai cru qu'j'avais toqué un pylône électrique", a-t-il bonni à la BBC après sa décarrade de l'hosto, le même jourdé. Il a aussi cru qu'des apaches lui tombaient sur l'paletot. M'sieur Farmer, qu'a déjà réchappé à deux pannes de battant dit être sorti d'ce pastis "tremblotant comme une faveuille" et avec les grelots à l'idée de décarrer d'sa cambuse, dans le loinqué où la maison poulaga fait le ruban. Il souhaite porter le pet.
Un galonné d'la police du Lancashire à d'mandé mille pardons pour avoir dérouillé l'pauv'gnière, devant des journaleux qui s'fendaient la pêche. Il a bonni "qu'il se sentait morveux", après avoir "à l'évidence refilé une avoine vacharde au dab". Le flic qui porte le bada s'est vu confisquer sa pétoire qu'on a chanstiquée avec une riboustin à lansquine qui f'ra marrer la marmaille. Le gonze à la flamberge japonaise, le vrai, a été agraffer pendant la jorne, complétement gris.
s'poulaga faut pu qu'y sorte du commico!
RépondreSupprimervaut pas être trop vachard avec sézigue parce que quand t'as l'dardant dans les mirettes t'as vite fait prendre un miro pour une tortue ninja !
RépondreSupprimerj'te trouve plutôt faiblard face à la maison poulaga!
SupprimerBah ouais, mais d'après c'que j'ligote, le lardu a fait les sommations d'usage... c'est la faute au vioque, aussi, l'avait qu'à se tenir à carreau ! Imagine que l'coup d'fouet i aurait rendu l'usage des chasses... personne n'avait jamais essayé, on pouvait pas savoir.
RépondreSupprimerP'têt même que l'flicard y bosse en loucedé pour borgnion, au rayon clignots !? Tu m'as l'air bien affranchi en tout cas !
SupprimerTu m'étonnes ! La maison parapluie j'ai longtemps pratiqué. Je conobre bien leur goût pour l'empirique. "T'as une hernie ? bah on va la faire passer à coup de rangeots, si ça s'trouve, ça larchemès, on sait pô, personne a jamais essayé !"
RépondreSupprimerLe coup d'paturon salvateur ! Et si tout baigne on pourra p'têt même requinquer les comptes de la Sécu ! M'est d'avis qu'avec des idées comac tu vas finir dans un ministère.
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