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26 janvier 2013

La barbouze qui en savait trop !

Une ancienne barbouze de la CIA a écopé d'une peine de deux plombes et demi de garuche vendredi pour avoir balancé le blaze d'un collègue ayant trempé dans un programme de cuisinage à base de gnons, en vigueur dans les cachemittes secrets de la CIA.
Le blaze de l'agent sous couvrante avait été dégauchi dans les papelards d'un débarbot ayant mouillé la limace pour un taulard de "grande valeur" pointant un temps à la cantine de Guantanamo. Cette découverte avait déclenché une enquête en 2009 et permis de remonter jusqu'à John Kiriakou.
Celui-ci avait eu son heure de gloriole en décembre 2007, sous l'administration Bush, en racontant à la téloche comment ils dessalaient les taulards dans les garuches secrètes.
"John Kiriakou est le seul cave à s'être fait agrafer sans jamais avoir torturé personne", a dénoncé Jesselyn Radack, qui a participé à la défense de la barbouze. "Il va prendre lèrche, ça devrait lui clouer le bec", a rétorqué le proc Neil MacBride, "s'il est dans la mouscaille c'est qu'il a une trop grande gueule", a-t-il affirmé à la presse.

"SEUL BARBOUZE A ALLER AU TROU POUR AVOIR  MOUFTER A DES JOURNALEUX"

Selon des documents de justice, Jojo Kiriakou a admis "avoir de son propre chef bavé sur deux agents de la CIA entre 2007 et 2009.
"John Kiriakou n'est pas un mec recta. Il a balancé  ses camaros pour se faire mousser", a ajouté le proc.
"Trente marqués de cabane c'est pas lèrche payé", a rouscaillé la juge fédérale Leonie Brinkema, en bonnissant le verdic, soulignant que sans la recommandation du gouvernail, elle l'aurait fait marner plus longtemps en taule. Pour la gerbière, "ses avaros ne sont pas liés au fait qu'il ait bavé mais au fait qu'il ait endormi ses pairs pour ensuite les chouriner dans la dossière". Le débarbot de Kiriakou, Bébère Trout, avait bonni que son client "se bilait pour les terroristes qu'on traitait pas, selon sa pomme, avec les égards dus à leur condition" et qu'à ce titre il avait lâché "naïvement" le blaze de deux trois collègues dans l'espoir qu'il jacteraient à leur tour. "Il n'a jamais voulu chercher des poux aux Etats-Unis ni à la CIA", a-t-il insisté devant la gerberie.
"C'est la seule barbouze de la CIA à aller au trou pour avoir moufter à des journaleux", a encore fustigé Jesselyn Radack.

"Ce matin, on m'a filé trente marqués de prison pour une paille. C'est normale qu'on m'ait remonté le tournebroche", a déclaré sobrement M. Kiriakou, en décarrant libre du palais de justice d'Alexandria. "Je veux dire que je sors de la gerberie droit dans mes bottes et remonté à fond de ressort", s'est-il contenté de bonnir. Il devra plus tard, comme de juste, pointer au mitard.

3 commentaires:

  1. ça lui laissera le temps de perfectionner ses technimuch de chatouillages de mecs au look patibulaire!

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  2. pas très correc' avec ses sbires l'Oncle Sam': fais l'sale boulot et après j'te balance en cabane. ca doit énerver un brin!

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  3. Bah après un p'tit séjour à l'ombre il ira chialer dans les jupes d'Oprah Winfrey et s'il est pas trop branque il ira vendre son babillard qu'il aura maquillé en garuche !

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