Plus de 300 mectons ont été alpagués lundi 5 décembre à Moscou, au moment où ils commençaient à s'affuter les pincettes pour groumer contre le déroulement des élections législatives russes. Ces dernières, enlevées par le parti du premier minisse, Vlad Poutine, ont été marquées par des pas de travers, selon des reluqueurs internationaux.
Les rouspettants risquent jusqu'à 15 jourdés de garruche, a bonni l'aboyeur du parti Solidarnost, dont le cofondateur, Ilia Iachine, a fait un tour de panier à salades. Plusieurs journaleux se sont fait également épingler, mais ils ont été relargués fissa, a précisé l'agence de presse RIA Novosti.
"RUSSIE SANS VLADI !"
Près de 10 000 gonzes s'étaient entrêpés sous une lansquine battante dans l'centre-ville en fin d'aprèm, braillant "Russie sans Vladi !" ou encore "Poupou au placard !". Les poulardins quant à eux ont compté 2 000 batteurs de pavetons. Moujingues pour la plupart, ils sont venu bagotter après avoir répondu aux appels lancés sur les réseaux sociomon.
Mais la maisou poulaga a bloquarès l'accès au ruban et harponné du jeunôt, offrant au FSB (ex-KGB) l'occasion d'se dégourdir les battoirs.
Plus tôt dans la journaille, des reluqueurs internationaux avaient juré avoir biglé des "machins par trop recta" dans l'comptage des voix, évoquant en particulier des "urnes boudinés par un trop plein d'bulletins".
Brèves de burlingue, café du commerce, philosophie de zinc dans un français moyen et argotique où les fautes de grammaire et d'orthographe seront traitées avec bienveillance.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire